Se faire déréférencer de Google

Et améliorer votre visibilité sur les moteurs de recherche.

Comment s'y prendre lorsque vous souhaitez supprimer des pages ?

Quelles sont les difficultés rencontrées lors de l'utilisation d'un processus standard ?


Le déréférencement (aussi appelé désindexation) permet de retirer un ou plusieurs résultats fournis par un moteur de recherche lors d’une requête effectuée à partir de l’identité (nom et prénom) d’une personne. Cependant, cette suppression ne supprime pas l’information du site internet source : le contenu original reste inchangé et reste accessible en utilisant d’autres critères de recherche ou en se rendant directement sur le site d’origine. Pour effacer l’information du site source, il est recommandé de soumettre une demande d’effacement auprès du responsable du site.

Les recours de désindexation en cas de nuisance à votre réputation

Tarifications pour votre déréférencement

en fonction de vos problématiques

à partir de

dollars canadiens
$ 420
  • au forfait
  • + Déréférencement des pages cibles
  • + Prise de contact des sites éditeurs
  • + Bilan de fin de prestation

à partir de

Euro
290
  • au forfait
  • + Déréférencement des pages cibles
  • + Prise de contact des sites éditeurs
  • + Bilan de fin de prestation

Paiement

  • + Paypal
  • + Virement bancaire
  • + Stripe

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Besoin d'une idée pour se déréférencer ? Discutons-en !

Que dit la loi concernant vos données personnelles ?

Diverses infractions peuvent être relevées :

  • L’accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données (article 323-1 du code pénal) constitue un délit passible de 2 ans d’emprisonnement et d’une amende de 60 000 €.
  • L’atteinte au secret des correspondances (article 226-15 du code pénal) est un délit punissable d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 45 000 €.
  • La collecte de données à caractère personnel par des moyens frauduleux, déloyaux ou illicites (article 226-18 du code pénal) est punie de 5 ans d’emprisonnement et d’une amende de 300 000 €.
  • L’usurpation d’identité par voie de télécommunication (article 226-4-1 du code pénal) est passible d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 15 000 €.

Il convient également de noter que le RGPD impose à tous les organismes traitant des données personnelles de mettre en place des mesures de prévention pour éviter toute violation de ces données. En cas de constatation d’une violation malgré les mesures préventives, l’organisme est tenu de prendre les mesures nécessaires pour y mettre fin dans les plus brefs délais.

De plus, l’organisme est tenu d’informer toutes les personnes concernées par l’attaque ou l’incident ayant entraîné la divulgation ou la perte de données à caractère personnel. Une notification à la CNIL doit également être envoyée dans les 72 heures.

Les victimes dont les données personnelles ont été divulguées peuvent engager la responsabilité de l’organisme si celui-ci n’a pas pris les mesures nécessaires pour sécuriser l’ensemble de son processus et si elles ont subi un préjudice.